jeudi 13 septembre 2012

Partie pour Pitti !



Quand vous lirez ceci, je serai en route pour Florence afin d’assister à Pitti Fragranze, le grand salon de la parfumerie d'exception, avec ma consœur et amie Victoria de Bois de Jasmin (je sais, je sais… la vie est parfois trop horrible).

Vendredi 14 septembre à 11 heures, présentation de Séville à l'aube pour les professionnels: Bertrand Duchaufour et moi reprendrons le numéro de duettistes rodé à Londres dans une conférence intitulée par les organisateurs « Quand le parfum rencontre la littérature ».

Samedi 15 septembre de 15 à 18 heures, événement consommateur L'Artisan Parfumeur: Bertrand Duchaufour dédicacera des flacons sur le stand de L'Artisan Parfumeur. Je serai également présente mais les seuls livres que je dédicacerai seront ceux apportés par mes lecteurs car il n'y aura pas de vente du livre.

J'ai  également rendez-vous avec l’invité d’honneur de cette 10ème édition, Chandler Burr, pour l’interviewer (nous nous recroiserons d’ailleurs le 22 septembre lors de la conférence de Chandler à l’Institut Français de la Mode, dans le cadre des Rives de la Beauté). Pour le programme complet des événements organisés à Pitti par le curateur d’art olfactif du Museum of Art and Design de New York, cliquez ici.


J’aurai bien évidemment le plaisir de croiser amis et connaissances qui n’habitent pas Paris, comme Vero Kern, Carlos Huber d’Arquiste, Geza Schoen, le duo de Humiecki & Graef. Et j’irai mettre le nez du côté de marques que je ne connais pas bien encore, comme A Lab on Fire et Blood Concept, qui présente un nouveau parfum signé Antoine Lie (logique : il a composé Sécrétions Magnifiques). Et bien entendu, j’aurai le plaisir de revoir mes amis blogueurs d’Italie (Ermano de LaGardenia nell’occhiello, Antonio de Boudoir 36, Marika de Bergamotto &Benzoino) ou d’ailleurs.

Comme l’usage du smartphone à l’étranger est affreusement onéreux, je twitterai au compte-goutte, mais quand même : vous pouvez me suivre (en anglais) @theperfumelover.

Et comme c’est Florence, quand même, il n’est pas impossible que j’aille promener mon nez ailleurs qu’au salon. Si je suis portée disparue, vous me trouverez sans doute au bord de l’Arno, en proie au syndrome de Stendhal

Illustration: Portrait de Ludovica Tornabuoni par Ghirlandaio, detail des fresques de la chapelle Tornabuoni dans l'église du couvent de Santa Maria Novella.


2 commentaires:

  1. Bon voyage, Denyse! On se voit là-bas, j'espère! J'essaie de caser votre livre dans mes 10kg de bagages à mains... (vive le low-cost...!)
    Cordialement,
    Corinna

    RépondreSupprimer
  2. Corinna, et moi j'en trimballe une dizaine pour la presse dans une valoche de VRP (donc obligée de mettre la valise perso en soute)...
    A bientôt, alors!

    RépondreSupprimer